L’Automne
On dirait que les arbres se courbent,
Leur verdure s’amincit,
L’éternelle fugue
D’une feuille mordorée.
Les vents d’hiver chantent alors
Comme un chœur triste,
Comme un écho du passé
Jusqu’à l’immensité des soirs.
- Louis Ménard
L’Automne
On dirait que les arbres se courbent,
Leur verdure s’amincit,
L’éternelle fugue
D’une feuille mordorée.
Les vents d’hiver chantent alors
Comme un chœur triste,
Comme un écho du passé
Jusqu’à l’immensité des soirs.